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Él​é​phant

by IMPERATOR

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Unknow
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Unknow what the fuck ?! guys how this is not sold out ?!
this here incarnate the perfect abortion of power eletronics and black metal . . . mix silencer and atrax morgue and you will have an idea . . .
come on enjoy the vore and get eaten alive by this beast of rotten sound !
buy this violent piece of pornography for your ears! Favorite track: La Persistance de la Mémoire.
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  • CCV08 - Limited Edition Cassette
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    Cassette tape version released by Cónclave Curatorial Records, limited to 10 hand numbered copies.
    The edition is a double-decker O-Card sleeve with a 2 sided J-Card mini poster, all tracks were remixed to be properly heard on tape.
    Features the original cover art designed by The Gloom Keep and 3 original works by SkaisAltair.
    Includes a copy of "Foschia di Luce"

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    Sold Out

  • TC04 - Cassette Tape (Swedish version)
    Cassette + Digital Album

    Cassette tape version of Éléphant, released by Triumphant Cadaver (Sweden) and limited to 50 copies.
    I only have 10 in my possession.
    ~Includes a patch with the "Isavella" Logo
    ~J card features art by The Unknow

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    Sold Out

1.
L’idole sur le labyrinthe envisage celui-là royaume où les mystères de l’isolation ont fait elle libre, mais les murs maudits s’attristent pour l’absence de sa reine, le soleil se noirci entre mémoires de magnificence prétérite, les cadavres des étoiles se tombent comme feuilles mortes à l’automne, la fétidité de la lumière morte, bastingage encré du sang et fleurs, obituaire céleste inscrit avec le prénom de l’éclat crépusculaire, naissance sacré de la nouvelle obscurité.
2.
À travers des limites de l'imagination, où miroirs, ciels et mers se sont fondues en rêves de la divergence et l'amour, silhouettes folies défient la logique des pensées, chaos que se mélange avec l'air, selon la malicieuse lumière de la calme, rivières d'argenterie fondues affluent vers les ciels, ils départent de ces cadavres en pourriture qui saignent sur les piscines trempés, dont passions ont cadré, dont désires son devenues sans têtes, dont destin a quitté. Mains atteindraient pour le ciel, orbes atteindraient pour les étoiles au loin.
3.
Figures nuées courent sur les terres en friche de la démence, plaisirs interdits fleurirent à la peau des âmes, esprits curieuses que regardent avec désire ce soleil qui tremble, passion saigné entre pyramides que s'érigent sur la voûte céleste, fléau de mes amours maudits, brouillard iridiscent venu des rêves nés dans un mirage mort sur fleurs et chandelles.
4.
Rêves et souhaites de la viande se sont réveillés Sur les plains d'amoureux silence et solitude énigmatique Une silhouette marche isolée, Qu'est-ce qu'il pense? Quelles idées vrillés terrorisent son esprit Quand il voit le couple qui s'embrasse sur la paix que sa haine le donne? Voyeurisme lascif s'érige comme vapeur charnel Stimulant dépravation dont visage est perdue entre les yeux qui le regardent Insectes infestent la féminité de ce mirage folie Elle donne un bisou a ses génitaux d'argenterie Fantaisies insatisfaites se pourraient en plaisir mort L'isolation, la conscience de son créateur a demandé lui une réponse «Dit moi, tu que rêves sur la cuspide de la cérémonie du liens spirituelles, Qu'est-ce que est l'amour?»
5.
Cascades incroyables son nées de la terre qui fleurit de l'obscurité, terraines tourbeuses rendre témoignage de la poussière consacré a la nuit, entre diables et âmes condamnés, la voix du ciel demande un sacrifice, yeux saignantes et peste maudit profanent les eaux sacrés et finalement le sacrement rendre hommage aux ciels perdus entre nouages mortes, la question est posée «Le corps de qui?», l'anneau sacré ne va pas pardonner nôtres péchés, quelle est le point?, es-ce qu'on doit dire «Amen» pour sceller notre engagement avec l'idole dont sang nous a donné la vie?, ce cadeau nauséabond que je veux donner à l'eternité.
6.
Qu'est-ce qu'est le temps? Ou est-il allé? La futile consternation pour le temps est comme la vie Une éternelle quête pour la lumière qu'embrasse notre âme sainte Mais on cherche la vérité dans la boue et sa vilenie Entre asticots que bouillirent en souhait pour notre peau morte On voit l'horloge fondue sur la terre solitaire, Selon le soleil qui nous invite à dormir pour atteindre la fin du temps Entre les rêves et illusions dont temps est fini «Oublie les horloges qui empoignent tes mémoires, Des aiguilles des heures qui mesurent ta conscience, Oublie-eux, seulement raconte, le temps vendra»
7.
La solitude se tombe sur les ruines du désiré, le soleil dorée allume nôtres corps, aux murs pourris la fenêtre dévoilât la silhouette mélancolique de ma reine, se violon vil se fait tomber sur les plains de l'oublié, avec mon cœur, qu'atteindre pour la nuit, laquelle va ouvrir les rideaux du ciel, pour découvrir comme souffrent les anges que nous embrassent dan les reves, où la lumière du soleil ne va pas brûler me cadavre maudit
8.
Je rôde à travers du crépuscule, je rôde où le temps ne court pas, Je rôde sur l'ombre d'une nuit, qui n'est jamais née. La nuit que m'embrasse mes yeux, La nuit que me porte aux couloirs de la mémoire. Le ciel s'attriste avec le cramoisi de la solitude. Où est le temps? Où est le sang, qu'ont laissé mes amours maudits? Où êtes-vous ma chérie? La reine de l'ombre, la reine de ce labyrinthe, Où je suis né, où j'avais décédé.
9.
Sur le serpent de la connaissance l'obscurité du monde envahie la magique des miroirs, L'ombre me brûle comme le soleil que mange la bête. Le silence est perdu entre les chansons de la forêt, la pluie se tombe sur les montagnes et sa silhouette m'embrasse et me viole comme l'ensorcèlement qui la mer m'avait donné pour contrôler sa volonté. La reine me demande pour s'érotisme volé, pendant le brouillard baisse mon puissance, j'ai perdu mon lien avec ce maudit forme de la viande, mais sa voix encore me captive, ses yeux du feu se sont noirci avec l'espoir de mon ascétisme. L'orbe de la sagesse est perdu entre la verte et pâle réalité, en saignant du sperme de ma puissance à naître, dans s'utérus le Léviathan de mes hordes démoniaques la protègent entre le paysage mystique, et je, dois devenir autre esprit de la forêt.
10.
La déesse rêve selon le manteau de la nuit, Sa tête de fleurs et papillons, insigne du vide céleste, vide pourri entre les étoiles du sang et or. Le serpent maudit l'intronise sur le royaume de luxe et souffrance, asphyxié pour la solitude de ce viande que cri pour la transmutation de l'être, dont corps est enchaîné dans le cocon du destin, venu du la terre de la pluie et le feu. La purification des âmes offris comme sacrifice pour l'esprit du mort et pestes, glissent sur les ailes des tourbillons composés à vin et tessons de lumière venu de cadavres du désire. Ma peau cri et se convulse, «écrasez vôtre existence!», l'écale de ça qu'outre fois fut humaine, d'os et viande, est suivant le mausolée sacré de puissance excepté de la conscience de ces parasites, pour ce fils consacré, le temps n'existe plus, et la mort est seulement un mirage aussi majestueux comme vermine. Et maintenant, les portes du destin se sont ouvertes. Qu'est-ce qu'il fera? Assassiner la reine rampante ou profaner sa virginité sacrée? Le temps dira.
11.
La sorcière, qu'autre fois fut une reine entre la terre de pluie et feu, La pute, rêves tranquillement sur l'autel des obsessions, où mon luxure et décadence glissent comme fumées pourris. Le ciel tacheté du sang, avec ses nuages réfléchie les chandelles et ses yeux perfides, sa temple gît endormi, le vieux immeuble connaît le futur, le passé, le présent, la guerre â venir. La voûte céleste régurgite l'âme noirci, pendent que le foudre se tombe sur la mer que danse avec violence et désire, avec haine et toxique véhémence, le temps est venu. La fausse reine essaye jeter un sort sur c'esprit, mais ces fétiches sont le mur que partage les étoiles sur le ciel, qu'empoigne la lumière de la nuit et le jour. Le mirage de l'obsession est perdu derrière l'arc-en-ciel, la fausse reine s'est tombée de sa plinthe, et la mer punie ses insolences. Sa viande, sa virginité sacrée, est tout à moi, le sacré cavalier de la mort, avant-coureur du majestueux destructeur. «Ta vie, ton esprit, ta viande et ta puissance sont à moi, pute, rappelle quand tes cheveux embrassèrent les ciseaux qu'avaient ton prénom gravé sur ses lames d'ombre et douleur atroce?, cette fois, il n'aura pas relèvement.»
12.
Minotaure 07:54
13.
14.

about

«L’idole sur le labyrinthe envisage celui-là royaume où les mystères de l’isolation ont fait elle libre, mais les murs maudits s’attristent pour l’absence de sa reine, le soleil se noirci entre mémoires de magnificence prétérite, les cadavres des étoiles se tombent comme feuilles mortes à l’automne, la fétidité de la lumière morte, bastingage encré du sang et fleurs, obituaire céleste inscrit avec le prénom de l’éclat crépusculaire, naissance sacré de la nouvelle obscurité.»

credits

released September 11, 2017

All Instruments, music and Lyrics written and Performed by Vore
Artwork: "The might of will being born from fear" by T64 from the Gloom Keep
Vore is: Tzachitxz, writing and performing everything.
Vore © 2017
All Rights Reserved

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